Il faut être prétentieux pour prétendre aller hors des pistes lorsqu’il ne reste plus qu’ 1/4 de la planète inexploité par l’humanité; océan compris. L’étrange du déjà vu, c’est revenir sur ce que nous croyons avoir déjà parcouru. Une proposition de revoir avec un regard nouveau ce que nous avons déjà vu. L’ arbre auprès duquel nous passons si souvent n’est pas marron avec un feuillage vert. Nous l’avons analysé comme ça par convention, histoire de passer à autre chose et libérer de l’espace mémoire.
Mais en le regardant bien, cet arbre si familier est un univers de couleurs et de matières changeantes. Une source d’émotions intarissable qu’il serait dommage d’ignorer au profit des pack d’eau que le marketing nous fourgue chaque semaine dans le caddy empli de reliques d’une mode toujours dépassée. Alors partons à nouveau sur des sentiers battus et rebattons les avant de la rabattre définitivement. Bon voyage.
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